Not angels, 1 pour 2 avant, 2 pour un maintenant !

"C'est pas moi!"
Tous trois étaient couchés derrière une voiture.
"Merci laureline, à quelques secondes près et on retrouvait des bouts de Pollack à 500 mètres."
"Beurk........"
Domi prit la parole. "Retourne à l'hosto, fait ce que je t'ai dit de faire, il faut que tu reprennes l'enquête".
Il disparut au coin de la rue. 
"On fait quoi maintenant" laureline tremblait encore.
"On retourne à Pompidou, je me renseigne sur l'enquête de mon ex-collègue".
"Tu la connaissais ?"
"Oui, mais ne me pose pas de question".
"Pourquoi es tu rentré à la DST?"
"Lolo, c'est pas bon de remuer le passé, alors s'il te plaît....." C'était une supplique.
Cette remarque laissa laureline perplexe.
De retour à l'hôpital.
"Alors ca se passe comment?"
"Pauline est hors de danger"
"Génial!". Guillaume était soulagé, il n'aura pas sa mort sur la conscience.......
"Et de votre côté"? Cyrielle dubitative, Cath, et Antoine s'étaient approchés.
"Oh, une ambiance de chaude camaraderie".
Guillaume laissa lolo raconter le déroulement. Il sortit et appela son chef.
"Je veux tous les documents concernant l'enquête de marie, je reprends l'enquête".
Il rentra.
Au comptoir, un homme se présenta comme étant l'agent Brice. Il le suivit des yeux. L'homme rentrait dans le service des urgences.
Cath s'approcha de lui.
"Guillaume, j'ai oublié de te dire, j'ai la balle qui a tué..... la femme."
Elle lui tendit un petit sachet, qu'il mit négligeamment dans sa poche.
Son téléphone sonna.
"Capitaine, j'ai envoyé un de mes agents protéger votre amie".
"Merci".
"Son nom est Brice, il vient de partir".
"Attendez, il VIENT de partir?"
"Oui pourquoi?"
Cath palît.
"Et merde".
Il raccrocha et courut vers le service des urgences. Cyrielle le vit passer et lui emboîta le pas.
Guillaume bouscula des infirmières, et sortit son arme.

L'homme, qui disait s'appeler Brice, sortit de la chambre de Pauline.
"Cyrielle, Cath, occupez vous d'elle".
"Cath s'en occupe, moi je viens!".
"Reste la c'est un ordre".
Il courut après l'homme, qui traversa la rue et entra dans un supermarché.
Guillaume entra aussi.
Il parcourut les allées et le vit. Il avait changé de tenue, en quelques secondes, il revoyait maintenant l'homme du train, capuche et pas de visage visible.
L'homme sortit une arme, Guillaume se jeta sur lui et lui arrache le pistolet qui glissa.  Tout s'accéléra. L'homme frappa au plexus, puis l'ejecta 6 mètres plus loin.

Par terre Guillaume sortit son arme, visa et tira.
Ce fut comme si il n'avait pas tiré, l'homme ne broncha pas. Guillaume tira encore.
"C'est quoi ce délire".
l'homme s'approcha et sortit un couteau.