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Bombe d'aisance

Pollack sortie de la salle d'interrogatoire en titubant.
Dominique, cela faisait 10 ans aussi. Il était devenu un grand ponte du nationalisme, et visiblement il en savait pas mal sur cette histoire. Il fallait le retrouver.
Antoine, Cyrielle, Pauline, Catherine, Laureline avait reçu le sceau des anges. Un de ses informateurs en avait reçu un aussi, et s'était fait désintégrer par une bombe dans une cabine téléphonique. La dernière était celle qui l'avait formée, mais elle était en mission.
La sonnerie de son portable le ramena à la réalité.
Il décrocha, attendit les deux bip qui indiquaient que la ligne était sécurisée.
"Pollack, les personnes demandées ont été amenées, mais on a un problème".
"Quel genre"?
"2 agents sont allés taper chez Madar, personne n'a répondu, et personne ne sait où il est".
"Super, bon je m'en occupe".
Il sortit et prit sa voiture. Antoine n'habitait pas loin, il commencerait par y aller, interroger les voisins.
15 min plus tard, il arriva à son domicile.
"Il se fait pas chier le Madar". Une villa, un garage, et une piscine recouverte.
il tapa à la porte. Personne. Il s'appréta à faire demi tour quand il vit quelque chose qui l'intrigua. La fenêtre était ouverte, c'était anodin mais..... une empreinte de pas, il reconnut des chaussures types rangers.
Guillaume rentra par la fenêtre, et admira la pièce. Un diplôme, des étagères.
Il monta à l'étage. "Y a du monde?".
Il poussa une porte et sursauta. Antoine était là, le regardant, assis sur une cuvette de toilette.
"Antoine".
"Pollack, enfin, ça fait 8 heures que j'appelle et personne ne m'entend".
"Qu'est ce qui se passe, t'es constipé?"
"Oh ferme la et regarde".
Antoine fit tourner le papier toilette, quelque chose était écrit dessus "Boum, t'es mort".
"Guillaume"
"Bouge pas"
il s'agenouilla et regarda derrière la cuvette. Il vit un détonateur.


"Me dis pas que je suis piégé".
"C'est ce qui s'appelle se foutre dans la merde".
"Garde tes remarques et aide moi!"
"On ne peut pas désamorcer"
"Qu'est ce t'en sais".
"La formation à la DST implique de savoir un minimum en matière d'artifice"
Il prit son portable. "Ici Serpent, envoyer moi une ambulance au domicile Madar".
"Une ambulance?".
"Tu vois la baignoire, a mon signal on se jette dedans".
"t'es dingue? on va crever!"
"Fais moi confiance et prends ma main". Ce qu'il fit. "Un, deux, trois". Il tira son propre corps et celui d'Antoine dans la baignoire, une seconde après une énorme explosion déchira le silence de la résidence.
Des poutres leur tombèrent dessus. Mais ils étaient vivants. "Guillaume".
"Quoi?"
"J'ai envie de chier".

Plus de peur que de mal. Au final tout deux se retrouvèrent à la DST. Les autres étaient là aussi. Le patron rentra.
"Mesdemoiselles, messieurs, la DST ayant eu des doutes concernant votre sécurité, de ce fait....."
Un téléphone sonna.
"Allo, oui ici pollack.......... QUI?"
Tous le regardèrent.
"Passez le moi".
Une voie au téléphone.
"Domi?"
"Salut cumpa, la liaison est sûre?"
"Ouai".
"Ecoute moi bien, ces anges ne sont pas des rigolos, il faut qu'on se parle mais d'abord il faut que je t'apprenne un truc."
"Dis toujours".
"Il y a deux semaines une quantité de plutonium a été dérobé"
"Je sais, mais c'est pas moi qui m'en occupe".
"Celle qui s'en occupe est morte, c'était elle qui t'avait formé?"
Le patron, qui écoutait la conversation baissa la tête, confirmant les dires.
"Merde......."
"La bombe doit exploser dans exactement 1 heure, gare de Lyon".
"Quoi?"
"Fait ce que tu as à faire, si tu es encore vivant, on reparlera".
la liaison fut coupée.
Le patron prit la parole "Son corps est à l'institut médico-légal, mais pas encore d'autopsie tant qu'on aura pas une personne de confiance".
"Moi je peux faire".C'était Catherine.
"Je lui fait confiance, patron, détachez mlle Faivre, Sempere et les autres la bas, c'est des S".
Le patron : "Et au sujet de la bombe, il est crédible ce type?"
Guillaume réfléchit. Bien sûr qu'il l'était.....
Il se tourna vers Antoine. "De quoi j'ai besoin pour désamorcer une bombe atomique?"
"De moi".

Ecrit par Sarkollack, le Lundi 26 Janvier 2004, 19:59 dans la rubrique Ah bon ?.


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