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Retrouvailles
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La jeune femme courait. A travers les arbres, elle luttait pour sa survie. Elle courait, essouflée, s'il la rattrapait. Elle trébucha, se remit debout péniblement. Trop tard. La balle lui perfora la poitrine.
FLASH.
L'homme marchait, taille moyenne, cheveux bruns, les yeux aux aguets. Depuis 2 ans il bossait à la DST. Il avait révé d'être journaliste, mais le destin en avait décidé autrement. Il venait, à 26 ans, de coller au trou un nationaliste qui faisait sauter tout ce qui bougeait. Au moment de l'arrestation, le corse lui avait dit "comme on se retrouve cumpa". Il oublia cet épisode. Quelque chose attira son attention. La rue était calme, pourtant il remarqua une voiture qui s'y engageait au ralenti, dans la ligne droite. Et lorsque des hommes en descendirent pour s'infiltrer dans une des maisons, armes au point, il comprit que cela n'allait pas du tout.
Il sortit son arme et s'approcha, il remarqua que c'était la demeure d'un designer, mais ne vit pas le nom. Montant prudemment par l'escalier, il vit une porte ouverte. Il regarda avec un miroir à l'interieur, vit 4 hommes qui tenaient en joue deux personnes dont il ne voyait pas les visages.
Il prit son portable. "Serpent pour Pc, mouvement dans la rue Maretin".
Un des hommes se retourna et le vit. Il tira. Aussitôt se fut un déchainement, les balles frapperent à quelques cm de son torse, il roula et riposta, il en toucha un au bras, ajusta son tir et descendit les trois autres. Il cria aux ex otages de se mettre à terre et s'approcha du gars blessé.
"Qui es tu?"
L'homme murmura :" Pollack, vous avez le bonjour des anges de l'apocalypse". A peine avait il prononcé ces mots qu'une écume apparut sur ses levres. Cyanure. 
Sarkollack se tourna vers les survivants. Et sursauta.
IL les connaissait, seulement, cela faisait 10 ans.
"Bonjour, Sarkollack, encore à jouer les héros.".
C'étaient Cyrielle et Pauline.
Elles furent emmenées au Qg de la DST.
Elles avaient reçu des menaces, signé  les anges de l'apocalypse. Il effectua des recherches sur son ordinateur, le type avait prononcé son nom, et avait mentionné 'ange de l'apocalypse". Il tapa ses termes.
Il regarda ahuri, 7 personnes en France avait reçu des menaces signé pareil. Il connaissait toutes ces personnes.


"Bon, si j'ai bien compris, toutes ces personnes doivent être amené ici" le patron du bureau n'allait pas par quatre chemins.
"Affirmatif".
"Antoine , stagiaire au centre de l'énergie atomique, Laureline , volleyeuse internationale, Catherine, etudiante en médecine, c'est du beau monde tout ca!".
"Ca fait 10 ans que je ne les ai pas croisé, ça fait un bail, autre chose, j'ai reconnu des armes utilisés par les corses, je vais interroger celui que j'ai coincé".  
Il arriva à la cellule, et entra.
L'homme dont il n'avait pas envcore vu le visage ricana. 
Il dit "Alors, tu sais, Dumé m'a dit le plus grand bien de toi".
 

Ecrit par Sarkollack, le Samedi 24 Janvier 2004, 18:33 dans la rubrique Ah bon ?.

Commentaires :

8-sous
8-sous
24-01-04 à 21:33

Génial !!! J'adore, vraiment, j'adore !!!! Je veux la suite très vite.........

 
sveti
sveti
24-01-04 à 23:10

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sveti
sveti
24-01-04 à 23:14

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Sarkollack
Sarkollack
25-01-04 à 10:01

Re: moi zaussi moi zaussi moi zaussi moi zaussi moi zaussi

roooooooooo cath franchement cela ne mérita pas un tel déchainement d'enthousiasme.......

 
Sarkollack
Sarkollack
25-01-04 à 09:59

Re:

Merci, c'est trop d'honneur que je ne mérite pas.....

 
Piu
Piu
27-01-04 à 20:46

Re: Bombe d'aisance

Pourquoi la suite n'est pas en article mais en commentaire, Sarko ? Dommage ... Sinon, j'aime beaucoup cette histoire, même si l'histoire de la bombe a ... disons des antécédents ... ;)

 
Sarkollack
Sarkollack
28-01-04 à 07:14

Re: Re: Bombe d'aisance

ah quels antécedents? expluque stp?

 
sveti
sveti
29-01-04 à 17:19

J'espère au moins en être à la fin de mes études de médecine, parce que sinon ça voudrait dire que j'ai redoublé une bonne centaine de fois ( la honte ! )

 


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